« Je regrette, mon Dieu (…). Accor­­dez-moi au moins la per­mis­sion de vivre comme un cafard », écri­­vait-elle en pri­son après avoir été affreu­se­ment tor­tu­rée. En 1998, Pinar Selek, socio­logue, mili­tante fémi­niste, avait vingt-sept ans. En ce mois de juillet, sor­tant de l’atelier artis­tique qu’elle avait créé pour venir en aide aux enfants des rues, elle ne En savoir plus sur­Pi­nar Selek, fémi­niste turque mena­cée de pri­son à vie[…]