La maison du Bosphore

A Yedi­kule, un des plus anciens quar­tiers d’Is­tan­bul, quatre jeunes épris de liber­té cherchent leur place dans une socié­té figée depuis le coup d’é­tat de sep­tembre 1980. La condi­tion des femmes et des mino­ri­tés, les conven­tions sociales, l’op­pres­sion poli­tique : tout leur pèse. Sema la rêveuse vou­drait entrer à l’u­ni­ver­si­té.

Salih l’ap­pren­ti menui­sier cherche à per­pé­tuer son art là où il a gran­di tan­dis qu’­Ha­san le musi­cien aime­rait faire vivre le sien sur les routes du monde. Seule Elif opte pour la voie périlleuse de la révo­lu­tion. Quatre par­cours, mais une même devise : Il nous reste un demi-espoir…

Hom­mage à une ville et à ses com­mu­nau­tés, réflexion sur l’ap­par­te­nance, leçon d’hu­ma­ni­té, ce pre­mier roman de Pinar Selek est celui de toute une géné­ra­tion qui cherche sa voie entre la Tur­quie d’hier et celle de demain.
Edi­tions Lia­na Levi

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