« Le roman qui m’a sauvée »
Dans une salle comble, l’auteure Pinar Selek a évoqué hier soir à la librairie Kléber sa vie d’exilée à Strasbourg et sa « Maison du Bosphore ». Elle fait de grands gest es , parle avec tout son cœur, s’excuse en riant pour son français « pas génial » et pour ses paroles trop nombreuses -croit-elle. Mais En savoir plus sur« Le roman qui m’a sauvée »[…]