Il lui reste un demi-espoir
Elle vit en France, à Strasbourg, depuis 2011 et est fière d’être déjà venue quinze fois à Rennes ; la dernière fois c’était le 29 mars pour le Festival Rue des Livres où elle présentait son roman « La maison du Bosphore », sorte d’hommage à la ville d’Istanbul et à toutes ses composantes. Pinar En savoir plus surIl lui reste un demi-espoir[…]