Pinar Selek : une campagne à grande échelle auprès de la justice turque

Le col­lec­tif de soli­da­ri­té avec la socio­logue stras­bour­geoise Pinar Selek qui vit en exil de son pays d’o­ri­gine, la Tur­quie, où elle a été condam­née à la pri­son à vie, lance une cam­pagne auprès du grand public. Objec­tif : ame­ner 10.000 per­sonnes à adres­ser un cour­rier au ministre de la jus­tice turc pour récla­mer une déci­sion En savoir plus sur­Pi­nar Selek : une cam­pagne à grande échelle auprès de la jus­tice turque[…]

Place Pinar Selek ou la Turquie qui change

Pinar Selek invi­tée de l’é­mis­sion Haute Défi­ni­tion (RTS.ch) Elle a vécu en exil les évè­ne­ments de la Place Tak­sim à Istan­bul. Un exil dou­lou­reux que Pinar Selek a magni­fi­que­ment mis en mots. Les jeunes en révolte contre la dérive auto­ri­taire et conser­va­trice du gou­ver­ne­ment de Receyp Erdo­gan ont éri­gé la socio­logue en sym­bole. Elle a En savoir plus sur­Place Pinar Selek ou la Tur­quie qui change[…]

Turquie : tourbillons littéraires

Ils étouffent. Ils prennent cela pour de l’en­nui. Ils mono­loguent à l’in­fi­ni, veulent s’é­chap­per. La faute à la socié­té, à ses diri­geants ? Ou à eux-mêmes ? Tem­pêtes sous les crânes. Ain­si bouillonnent les années 1990, en Tur­quie : qu’elles soient racon­tées dans Un été, sixième et ambi­tieux roman de Tuna Kire­mit­çi (le deuxième tra­duit en fran­çais), ou En savoir plus sur­Tur­quie : tour­billons lit­té­raires[…]

Pinar Selek : « La lutte est déjà gagnée en Turquie »

Socio­logue turque réfu­giée en France, Pinar Selek a été condam­née à la pri­son à vie en Tur­quie mal­gré trois acquit­te­ments. Contrainte à l’exil, cette mili­tante fémi­niste et anti­mi­li­ta­riste fait aujourd’­hui sa thèse sur les mou­ve­ments sociaux en Tur­quie à l’Université de Stras­bourg. Plu­tôt que de par­ler d’une isla­mi­sa­tion ram­pante de la socié­té, elle pré­fère par­ler En savoir plus sur­Pi­nar Selek : « La lutte est déjà gagnée en Tur­quie »[…]

« Voyages » en Turquie et en exil

Un pre­mier roman  qui porte l’é­cho du vécu de l’au­teur : por­traits de femmes et d’hommes, d’une ville Istan­bul, mosaïque poli­tique, sociale, reli­gieuse de l’his­toire du pays lui-même, la Tur­quie, un mel­ting pot riche, mais mar­qué  par le coup d’É­tat de 1980. Pinar Selek était l’in­vi­tée, cette année, du Fes­ti­val Éton­nants voya­geurs de Saint-Malo, en mai). En savoir plus sur« Voyages » en Tur­quie et en exil[…]

Turquie : Un mouvement à la Mai 68 s’est emparé de la société civile

Les vents de résis­tance qui viennent d’Is­tan­bul portent les voix de la Com­mune de 1871, les chan­sons de 1968 et les slo­gans du « prin­temps arabe ». Moi, j’y ai aus­si enten­du les rythmes alter­mon­dia­listes de Seat­tle en 1999 et les éclats de la mani­fes­ta­tion pour le « mariage pour tous » à Paris. Davan­tage que la quan­ti­té, c’est En savoir plus sur­Tur­quie : Un mou­ve­ment à la Mai 68 s’est empa­ré de la socié­té civile[…]

« La maison du Bosphore » de Pinar Selek

Alors que le pou­voir turc réprime son peuple dans le sang et empri­sonne ses oppo­sants, le pre­mier roman de Pinar Selek, socio­logue et mili­tante des Droits de l’Homme, aujourd’hui exi­lée en France, est plus qu’un por­trait de la ville d’Is­tan­bul et de celui d’une géné­ra­tion. C’est un puis­sant appel à la liber­té et à la En savoir plus sur« La mai­son du Bos­phore » de Pinar Selek[…]

La maison du Bosphore

À Yedi­kule, un des plus anciens quar­tiers d’Is­tan­bul, quatre jeunes épris de liber­té cherchent leur place dans une socié­té figée depuis le coup d’É­tat de sep­tembre 1980. La condi­tion des femmes et des mino­ri­tés, les conven­tions sociales, l’op­pres­sion poli­tique : tout leur pèse. Sema la rêveuse vou­drait entrer à l’u­ni­ver­si­té. Salih l’ap­pren­ti menui­sier cherche à per­pé­tuer En savoir plus sur­La mai­son du Bos­phore[…]

« Le roman qui m’a sauvée »

Dans une salle comble, l’auteure Pinar Selek a évo­qué hier soir à la librai­rie Klé­ber sa vie d’exilée à Stras­bourg et sa « Mai­son du Bos­phore ». Elle fait de grands gest es , parle avec tout son cœur, s’excuse en riant pour son fran­çais « pas génial » et pour ses paroles trop nom­breuses ‑croit-elle. Mais dans la salle blanche En savoir plus sur« Le roman qui m’a sau­vée »[…]

L’Alsacienne de la semaine : Pinar Selek

Avec 38 % des 510 votes enre­gis­trés avant ven­dre­di midi, Pinar Selek est notre nou­velle Alsa­cienne de la semaine. Condam­née à la pri­son à vie pour un crime qu’elle n’a pas com­mis, la socio­logue turque, âgée de 41 ans, réfu­giée à Stras­bourg, est vic­time, depuis bien­tôt quinze ans, de l’acharnement poli­­ti­­co-judi­­ciaire des ultra­na­tio­na­listes de son En savoir plus surL’Alsacienne de la semaine : Pinar Selek[…]





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